La Bible Noire
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 06 Bestiaire, les postes à pourvoirs (humains/semi-humains)

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Faust
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Faust


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MessageSujet: 06 Bestiaire, les postes à pourvoirs (humains/semi-humains)   06 Bestiaire, les postes à pourvoirs (humains/semi-humains) 37Jeu 6 Aoû - 13:53

Semi-Humain




  • Nom : Rokugo (son véritable nom est Monnier, mais comme au Japon, c'est plutôt dur à porter, il a préféré prendre le nom de son beau-père)
  • Prénom : Akihiko
  • Age : 26 ans
  • Avatar potentiel : 06 Bestiaire, les postes à pourvoirs (humains/semi-humains) Akihiko


  • Exigences: Un temps de post correct d'environ minimum un ou deux posts par semaine une fois en jeu, pour que le personnage reste dynamique et que les joueurs avec qui vous jouerez ne restent pas bloqués, mais à part ça pas grand chose. Ah si: Ce personnage possède un scénario personnel latent, lequel est laissé relativement libre. Les détails qui ne sont pas assez clairs pourront être abordés par MP, cela dit, mieux vaut être motivé pour jouer Akihiko, car c'est un personnage dont l'évolution risque de demander un peu d'investissement personnel.

  • Histoire :
    Akihiko est originaire d'une famille aisée, vivant certes au Japon depuis de longues années, mais de départ française. La famille Monnier à Hokubu comme dans tout l'état, voire même au delà, était connue par les initiés pour abriter quelques fameux clairvoyants... Clairvoyants plutôt doués, dont certains un peu plus "spéciaux" que d'autres ont dors et déjà été forcés à rejoindre Chrome. Akihiko naquit. Dès le plus jeune âge, on décela le don chez lui... Don qui faisait de lui l'un de ces bijoux vivants de famille, de ceux qui avaient fait la fortune des Monnier, et ceux qui continueraient d'assurer sa sauvegarde... Seul problème? Son don était puissant. Un peu trop puissant même... Akihiko, trop sensible en subit les conséquences plus qu'il n'en tira quelconque avantage... Savoir toutes ces choses des gens que l'on croisait à peine; en apprendre tant rien qu'en frôlant une main, entrer dans l'intimité des autres sans pouvoir s'en empêcher, voir leurs plus beaux instants de vie certes... Mais aussi voir les choses affreuses qu'il ont eu ou auront à vivre; être témoin de l'instant de leur mort... C'était beaucoup à endosser. Beaucoup à accepter, à supporter. Beaucoup trop pour un jeune enfant, surtout aussi fragile que lui l'était. Akihiko ne s'en tira pas indemne... Instable, déséquilibré, déjà névrosé au bout de quelques courtes années de vie...

    De lui même, on ne se demandera pas pourquoi, il s'isola. De ce fait considéré comme bizarre, à l'école, il fut rejeté, ce qui n'arrangea pas son cas. Acceptant sans en souffrir grandement sa solitude volontaire, Akihiko se développa donc seul, apprenant à s'occuper; à s'amuser solitairement... De tout ce qu'il testa, ce fut et sans attendre le dessin pour lequel il se passionna. Bien souvent, et quoi que purent faire ses parents ou ses proches, - clairvoyants ou non - il se barricadait dans sa chambre; et longtemps dans la pénombre profitait de ces instants de répit ou aucune vision ne venait le gêner... Et de dessiner, et de dessiner... de dessiner sans s'arrêter, car rien d'autre n'avait plus d'importance que de donner vie à ces images qui noyaient son esprit... ces images qu'il voulait voir, contempler hors de lui... Ces images dont il voulait se débarrasser, aussi.

    Lorsqu'il eut 7 ans, la première grosse difficulté qu'il eut à surmonter se dressa face à lui. Un soir, son père ne rentra pas à la maison. Plus de nouvelles pendant quelques mois... Pas de réponse lorsqu'on tentait de lui téléphoner; personne qui l'ai vu depuis le fameux soir au cours duquel il avait été porté disparu... N'allez pas croire qu'il ne revint jamais. Non, car il revint bel et bien... Lorsqu'une nuit bien plus tard il se présenta de nouveau à la porte de chez lui, cela dit, il n'était plus lui-même... Il n'était plus humain.

    Ou du moins, la chose qui l'habitait ne l'était pas, et s'en cachait bien. Indétectable, la "chose" ne fut pas même remarquée par les médiums de la famille les plus puissants, et les plus calés en démonologie. Fallait-il qu'elle soit douée pour cacher son aura, et pour imiter le "père disparu". Des excuses avaient-été trouvées pour justifier sa longue disparition, et rien ne laissait présager un cas de possession. Akihiko fut le seul à comprendre que quelque chose d'étrange se tramait. Pourquoi? Comment? Ce n'était pas que le comportement de son père lui paraissait différent... Non. Simplement, d'une quelconque manière, il le ressentait. Cela n'était même pas dû à la puissance de son don de clairvoyance. C'était comme si un lien étrange, ineffable, existait entre ce "père" et lui-même... Comme un fil d'or invisible et incassable, qui n'était pas là auparavant. L'enfant se barricada d'autant plus souvent, et d'autant plus longtemps dans sa chambre, au grand dam de la famille. Ça n'allait pas le protéger grandement.

    Un soir, le démon qui possédait son père se mit à l'action. Après s'être assuré que sa "femme" ne se rendrait compte de rien grâce à l'hypnose à laquelle il l'avait soumise, il descendit jusqu'à la chambre d'Akihiko, bien décidé à mettre ses plans obscurs à exécution... Se réveillant serré dans l'étreinte paralysante de son géniteur, Akihiko ne mit que peu de temps à comprendre où était l'erreur. Quoiqu'en fait il ne comprit pas grand chose, si ce n'est que le moment mystère qu'il avait redouté des jours durant était arrivé. La chose soulevait son visage. Elle avait les yeux jaunes, et sa poigne de fer blessait son visage encore poupon. Elle semblait être en train de se parler à elle-même...

    "C'est bien celui-ci... Est-il mûr? Est-il suffisamment puissant...? Hmm... Oui je sens en lui le fluide de cette famille maudite couler... Cette femme a bien fait son travail, sans même le savoir..."

    Un rire grinçant lui échappa. Akihiko était terrorisé, mais ne comprenait avant tout rien. La créature avait approché la main de son crâne pour une raison X ou Y.

    "Ne bouge pas fils, tu ne me seras utile qu'une fois pleinement éveillé..."

    Comme une longue décharge électrique, dans son cerveau... Se superposant à cette sensation désagréable sa clairvoyance décida de faire des siennes. Et les images qui s'imposèrent à lui étaient horribles, pour ne pas dire immondes. Un homme, qui n'était pas son père, était en train de violer sa mère, avec une violence digne d'une brute de décoffrage. Il avait les mêmes yeux jaunes que ceux qu'Akihiko avait pu voir sur son père, quelques secondes plus tôt. Il riait, tandis qu'il s'acharnait, jusqu'au bout... Des bribes de paroles lui parvenaient.

    "... Cette fois-ci sera la bonne. Fait le fort, qu'il soit capable d'user de mon pouvoir. Élève le comme ton fils aimé... Oublie tout, femme, car tout ça ne te concerne en rien..."

    La créature se penchait sur sa mère, laquelle perdait alors connaissance... Akihiko s'entendit crier. Il n'osait même pas comprendre la signification de cette vision d'horreur. Et il n'en aurait pas l'occasion, car son cerveau n'accepterait pas de se souvenir de cette soirée traumatisante. Il y eut un boucan abominable, comme une explosion... Une gerbe de sang. Le rire d'une créature qui n'avait rien d'humain, qui s'élevait, et s'effaçait comme emportée par un coup de vent... Plus rien. Le lendemain, la panique régnait dans la demeure: on avait retrouvé Akihiko inconscient à côté du cadavre de son père, lequel n'était pas beau à voir: sa tête avait explosé. Jamais personne ne trouva d'explications à ce phénomène. Akihiko lui-même ne comprit jamais ce qu'il s'était passé, puisque tous ses souvenirs de cette nuit s'étaient évaporés. Les pouvoirs qu'avait éveillés la créature qui semblait comme être son "véritable père" semblait même s'être scellés, comme faute à un blocage... Ce n'était ceci dit qu'une question de temps avant que la réalité, et sa naissance, ne viennent à nouveau assombrir son avenir.

    Suite à cela Akihiko, malgré son absence de souvenirs, devint encore plus asocial qu'il ne l'était déjà. C'est comme si tout ce qu'il avait vu et dont il ne se rappelait pas s'était gravé dans son subconscient... Encore moins d'échange avec les autres, encore plus de moments passés enfermé, seul... Bientôt, pour d'obscures raisons il arrêta même de parler... Chaque jour qui passait, pour une raison ou pour une autre, une image mentale à son esprit s'imposait... Elle prit petit à petit forme, jusqu'à devenir si présente que pour lui, c'était comme si elle s'était matérialisée. C'est là que pour la première fois, elle entra dans sa vie... Éphémère. Un nom qu'il lui a donné, un nom pour une chimère, devenue si réelle qu'elle finit par lui même l'abuser. Éphémère. Jeune fille diaphane, son amie rien qu'à lui, sa confidente, sa protectrice imaginaire... Chaque soir, elle le lui promettait, lui glissait à l'oreille ces quelques mots doux, ces paroles cajoleuses mais sincères... "Si il vient, je l'en empêcherai...". Paroles dont le sens lui échappait. Et elle disparaissait. Évanescente, présence furtive, fragile, belle comme un nuage de fumée en élévation, incapturable... et Éphémère. Matérielle l'espace d'un instant, plus qu'un souvenir étiolé, au suivant.

    Peu à peu Akihiko regagna la voix, voix qu'il avait perdu pour des raisons qu'il ne connaissait pas lui-même... La sensation de danger s'étiolait. Le mal-être qu'il ressentait, aussi. Et les années passèrent, et Akihiko grandit, parvenant au passage à regagner un soupçon d'équilibre et de normalité. Il continua bien sûr de dessiner, entre autre, et s'améliora considérablement... A l'adolescence, devenant - ce qui n'est pas surprenant - suicidaire, il fit trois tentatives... trois vraies tentatives toutes échouées. Quel que fut le moyen mis en œuvre, on parvint toujours à l'arrêter. Éphémère n'existait plus... Cependant parfois, en latence, l'image solitaire d'une jeune fille blanche comme la neige, pure comme son étendue vierge, pouvait encore lui apparaître, resplendissante de beauté...

    Rien d'étonnant à cela, il fit des études d'art, avant de devenir graphiste. Étant doué et passionné, il fut considéré comme prometteur, et pas à tort... En quelques courts temps il parvint à gravir quelques échelons clé. Cela faisait 3 ans qu'il exerçait quand une catastrophe advint, catastrophe représentant la deuxième grande horreur de sa vie... et celle là, il ne l'oublierait certainement pas.

    Il était en déplacement, aux USA, pour le travail.Tombant par malchance dans une attaque de Chrome menée contre un groupe de créatures surnaturelles, alors qu'il passait simplement dans une rue d'apparence déserte, pas même remarqué par les deux camps, il fut pris dans l'explosion de projectiles dangereux lancés direction ces messieurs les démons... Il ne fut pas grandement blessé... Le truc, c'est que ce furent ses yeux qui payèrent pour le reste de son anatomie. Rétine brûlée, cornée abîmée ou quoi que ce fut, il n'empêche qu'on dut l'emmener à l'hôpital, ou on ne put rien faire pour lui... On arriva à rien récupérer. Il perdit donc la vue.

    Sa vie n'avait de sens que par ses yeux et ce qu'il en faisait... le coup fut donc très dur. Sa vie était brisée. Forcé au chômage et à la reconversion, déjà déséquilibré... il péta un plomb. C'était suffisant pour déclencher ce sombre processus que le démon aux yeux jaunes avait voulu réveiller, et qui avait été contenu par son "amnésie". Éphémère revint quand il avait besoin d'elle... Seule lueur bleutée, seule beauté, dans le monde de ténèbres qui l'entourait maintenant. Oui vraiment... Pour lui, elle était là, il la voyait... Comme si ses yeux ne marchaient plus que pour elle. Ses proches savent bien qu'Akihiko n'est pas bien net... mais aucun n'a le courage d'appeler l'asile, il semble bien. D'aucun de savoir que cette période est dure pour lui et que sans doute avec le temps, cela lui passerait. Akihiko croit en l'existence d'Ephémère, et agit ouvertement comme si elle était bel et bien là, même sachant que personne d'autre que lui ne la voit. Mais d'ailleurs... N'est-elle véritablement qu'une invention de son esprit malade? N'est-elle pas plus réelle qu'il n'y parait, et liée d'une manière ou d'une autre à l'histoire de ses origines visiblement peu catholiques? Six mois presque jours pour jour ont passé depuis ce malencontreux accident qui vaut sa cécité à Akihiko... Il ne connait pas le braille, n'ayant même pas eu le courage de commencer à l'apprendre. Il reste encore maladroit, ne s'étant pas encore habitué à son nouveau statut... Il n'a pas recommencé d'études. Pas le moral, ni la motivation... Il est encore au chômage. Sa famille voudrait qu'il fasse commerce de sa clairvoyance, lui ne veut pas. Il l'a toujours mal prise et évite au possible d'avoir à être sujet à ce genre de phénomène surnaturel, quoi que cela ne soit pas tout à fait facile... Seule amie qui parvienne à lui faire supporter sa nouvelle condition: Éphémère. Son seul amour, sa raison de vivre, la seule chose importante à ses yeux... la seule chose qui lui soit donnée de voir. Si il n'a pas encore mis fin à ses jours, c'est bien pour la seule et unique raison qu'Elle est là, avec lui... Tant que ce sera le cas, sans doute continuera t-il de vivre, irrationnellement, de façon relativement oisive quoi que précaire...

    ... Ou du moins, est-ce là ce qu'on pourrait croire.


Dernière édition par Faust le Sam 8 Aoû - 16:06, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: 06 Bestiaire, les postes à pourvoirs (humains/semi-humains)   06 Bestiaire, les postes à pourvoirs (humains/semi-humains) 37Jeu 6 Aoû - 14:03

  • Description physique : Akihiko est assez grand, et mince sans non plus ressembler à un haricot (quoi qu'il ne soit pas très musclé)... En gros il a bien grandi, sans exagération, et se trouve être dans le genre très regardable... Ses cheveux, auburn, à peine souples, lui arrivent quasiment sur la nuque, en de soyeuses mèches que sa mère voudrait bien faire couper, mais bon (ouf elle ne décide plus depuis un bon moment). Ses yeux étaient auparavant vert bouteille... avec la cécité leur couleur a changé, et est devenue presque blanche. Étrangement pourtant, il garde un beau regard, quoique absent. Son visage respire naturellement la mélancolie... allez savoir pourquoi, Akihiko est fait ainsi, et vu son moral loin d'être au plus haut, cela ne s'arrange pas. Un air lointain, une voix suave mais bien souvent monocorde, comme planant à une altitude in-atteignable de quiconque d'autre qu'Elle ... Niveau vestimentaire, Akihiko évite de se négliger. Pourquoi? On lui a appris a bien s'habiller, il a intégré cette valeur, et maintenant eh bien... Eh bien ma foi il fait ainsi qu'il est habitué à faire. Autant dire qu'il ne fait plus grandement attention à la couleur, mais l'intégralité de son actuelle garde robe est constituée de blanc, de noir et de gris. Si il se trompe en s'habillant comme ça au moins, il n'aura pas l'air d'un clown vêtu de couleurs jurant affreusement, dans la rue... En général, c'est en gris qu'il se trouve habillé. Chemise, veste et pantalon sobre, cravate quand il en a le courage... classe avons nous dit? Ouip. Classe et relativement passe partout, ce qui ne le rend pas insignifiant pour autant, mais lui rajoute un certain charme; charme dans son humble façon d'être... Seul détail pouvant sembler étrange à nous autres contemporains: les gants blancs qu'il porte quotidiennement, et qu'il ne quitte presque jamais. Un contact un peu trop rapproché, et il peut être victime d'une vision des plus désagréables selon lui, ce qu'il préfère éviter... alors bon.
    Dernière chose: Akihiko n'étant pas aveugle de naissance, il possède encore le réflexe de se tourner et de "regarder" les personnes à qui il parle, cependant il arrive souvent qu'il ne regarde pas assez haut, ou trop haut, ou qu'il se trompe un peu de direction... détails montrant bien qu'il est aveugle, si on ne l'avait pas déjà deviné à la couleur de ses iris.

  • Description psychologique : Depuis toujours, Akihiko est timide, renfermé, voire une peu froid... Il évite au possible le contact avec les autres, même si il reste poli au possible, étant l'air de rien bien élevé. Franc, jamais il n'osera mentir... Gentil cependant, si il est question d'éviter de blesser quelqu'un, il saura faire preuve de tact, ou bien saura omettre ce qu'il faut... Akihiko est bien sûr un grand névrosé, ce qui se voit: il lui arrive d'avoir des tics nerveux, comme de se frotter, les mains, de crisper ses doigts, et autres manies de ce genre là. Maintenant qu'il a perdu la vue, plus grand chose n'a d'importance pour lui... Il se fiche d'un peu tout, et ne se soucie de sa propre vie que parce qu'Ephémère est là. Il vit au jour le jour, n'a plus aucune ambitions, n'est là plus que pour elle... Ce qui pourra sembler étrange aux autres qui essaieront de nouer contact avec lui certes. C'est moins gênant maintenant qu'il a perdu la vue, mais tout de même: Akihiko a une énorme phobie du sang. Mettez lui en une goutte sous le nez, et il ne répondra plus de rien... Instable, déjà à moitié cinglé, quoi que habituellement calme et sympathique, mieux vaut ne pas tenter le diable... ou forcer le destin. Akihiko a beaucoup du mal à faire avec son don de clairvoyance, c'est un fait. Il aurait préféré faire partie du commun des mortels. Faute à celui-ci, même maintenant, il continue à rechigner aux rapports humains, et surtout, à ne pas supporter les contacts physiques de toutes sortes... Ce pourquoi il porte constamment des gants. Pour les même raisons, il préfère éviter d'ébruiter les raisons de la notoriété de sa famille, et n'ira pas s'en vanter - de toutes les manières on ne fait pas plus modeste que lui. Assez peu loquace de nature (quoi que...) Akihiko est pourtant un bon orateur, quand bien même sa mémoire est strictement visuelle. Rappelez lui sa cécité, et il sera très indisposé... Éphémère lui fait oublier au possible ce détail, mais cet insouciant abandon est fragile; facile à briser. Au moins, ce genre de choses a le mérite de le ramener à peu près à la réalité... En bref? Akihiko est un grand traumatisé et un grand déprimé, même si comme ça il n'en a pas l'air du tout, toujours ou presque avenant et souriant, manquant certes de chaleur humaine, mais doux et agréable à côtoyer malgré tout. Pourquoi ce sourire, pourquoi cette simulation? Déjà, Éphémère est là, arrangeant son état moral... ensuite autant qu'on ne s'inquiète pas pour sa personne. Il préfère ne pas avoir à parler de lui. Malgré ce qui lui est arrivé Akihiko n'a rien contre les créatures surnaturelles, même si les craignant il les évite.

  • Pouvoirs :
    Une clairvoyance extrêmement développée. Un simple contact physique peut entraîner chez Akihiko une vision plus ou moins longue, plus ou moins claire, plus ou moins... beaucoup de choses. Pour cette raison, il ne quitte jamais ses gants.
    Comme on l'aura compris (ou pas?) Akihiko n'est qu'à moitié humain, son véritable père semblant être une créature à l'identité plus ou moins mystérieuse, évaporée dans la nature (pour l'instant). Alors que sa "seconde nature" est sur le point de s'éveiller, il est fort possible que Akihiko développe des dons supplémentaires plus ou moins discrets... (libre, à quelques détails près. Ce point sera à aborder par MP, le joueur prêt à prendre le poste est donc invité à me demander des précisions, ce qui permettra d'ailleurs de mettre au clair ce qui dans la fiche pourrait être obscur... soit sans doute pas mal de chose, sachant que l'histoire est une adaptation de quelque chose qui était très différent.)

  • Autre: Il possède un petit appartement à Hokubu, très modeste, payé avec ce que les indemnités chômage veulent bien lui verser... L'endroit est assez désagréable car très mal insonorisé. Circulation intense sur le boulevard d'à côté, voisins d'en bas qui n'arrêtent pas de se chamailler, voisin de pallier qui met un peu trop souvent du métal à fond chez lui... un peu trop souvent au goût de tous les habitants de l'immeuble en tous cas; voisin du dessus qui ne trouve rien de mieux à faire que de taper du balais par terre dès que l'on tente de se mettre à jouer un peu de piano (et que oui il dit rien pour le métal, étant à moitié sourd ces sonorités là il ne les entend pas)... Bref. Très vivant, très très vivant... au moins c'est la joie (même le chien du concierge il est d'accord, à aboyer gaiement pas tous les quarts d'heures mais pas si loin pendant de bons cinq minutes non stop). Sinon? Pas grand chose... Qu'est-ce qu'Akihiko pourrait bien posséder d'important, étant donné qu'il a déjà tout perdu?
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Faust
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MessageSujet: Re: 06 Bestiaire, les postes à pourvoirs (humains/semi-humains)   06 Bestiaire, les postes à pourvoirs (humains/semi-humains) 37Jeu 6 Aoû - 14:04

Chasseuse




  • Nom : Au choix
  • Prénom : Reila
  • Nom de code : Edelweiss
  • Age : 26
  • Avatar : 06 Bestiaire, les postes à pourvoirs (humains/semi-humains) Avatarsfilles71tm5

  • Histoire :
    Tout commença en Écosse, dans les high land, plus précisément. C'était une merveilleuse journée, comme on en compte dans les histoires de princesses, de princes et de dragons. Il était presqu'une fois, une mère dont le ventre rond annonçait la venue d'un enfant si ardemment convoité. En effet, on le lui avait dit... Avec son taux de fertilité, le miracle n'aurait lieu qu'une seule et unique fois. Et après dix années d'attente et de combats, au fil des jours et des nuits, le ventre avait enfin grossi sous le regard charmé d'une mère et d'un père, enfin comblés.
    On observa la grossesse, chaque mois, jusqu'à découvrir, lors d'une échographie, deux petits cœurs battre à l'unisson. Pour un couple soi-disant malchanceux, leur histoire commençait plutôt bien. Ainsi, ils avaient combattu le sort, ils auraient DES enfants ! Non pas un seul comme l'avait dit leur médecin traitant, ils en aurait deux, des jumeaux, des jumelles, trop heureux de cette révélation, ils décidèrent de ne pas en savoir plus. Filles ou garçons, l'importance n'était pas et ne le serait jamais.
    Une chambre fut aménagée et on acheta, on dépensa avec abondance non retenue pour ce futur évènement.
    Il était presqu'une fois... une mère allongée sur une table de travail, depuis trois longues heures, le souffle court, tiraillée par de multiple contractions et entourée d'un personnel médical en effervescence. Il était une fois, une mère qui enfante avec difficulté, un spectacle que l'on connait presque par cœur, la sage femme sourit, les enfants se présentent bien, ces deux jumelles qui auraient du être un cadeaux des dieux... allaient bien... oui, enfin, jusque là, car n'oublions pas que c'est un presque conte de fée !

    Ce jour là, seule Reila eut droit à son premier souffle, plongeant celle qui avait partagé neuf mois à huit clos en sa compagnie, dans une mort douce et délivrante. Un bébé pleura. Une seule fille... Sortie d'un ventre chaud, meurtrière aux yeux encore clos.
    Eve quitta ce monde, sans ne l'avoir jamais connu. Ce n'était encore une fois malheureusement que le début d'un presque il était une fois.

    Tant pis, on pleura Eve, mais l'espoir de voir cet enfant grandir fut plus grand que la peine de voir un nourrisson mourir le jour de sa naissance. Reila fut l'enfant gâtée, choyée, inondée de cadeaux, d'habits, de jouets plus coûteux les uns que les autres.
    Le bébé s'épanouit et ses grands yeux verts obtenaient toujours tout. Comment ne pas craquer ? C'est ce que répétait toujours son père, lorsqu'il la portait sur ses épaules.

    Reila passa une enfance bénie par les anges, jusqu'au jour de son septième anniversaire, jour, durant lequel, la petite fille pleine de vie échappa à la surveillance de ses géniteurs et tomba la tête la première dans la piscine de ses parents. Elle s'y noya.

    Mais ce presque conte ne s'arrêta pas là, puisque la jeune fille fut sauvée, cependant, plus rien ne fut comme avant. Son air doux et inoffensif fit place à une femme avec plus de tempérament, avec plus de fougue et de rancœur ! Et à seize ans, après s'être emportée contre son père, elle attrapa une petite valise et quitta le domicile parental dans un claquement de porte.
    Comment pouvait-elle vivre dans cette famille qui l'avait oublié. On ne parlait jamais d'Eve, on l'avait délaissé, abandonné, tout le monde parlait de Reila, tout le monde s'inquiétait et la couvrait de jouets ; mais sur sa tombe, les fleures étaient jaunies et abandonnées... Eve n'avait jamais eut sa place dans cette famille.
    Non, Eve n'était pas totalement morte, elle ne l'avait jamais été. Ce jour où le cordon ombilical de sa sœur avait fait le tour de sa gorge, elle avait quitté un corps, pour en prendre un second. Eve avait toujours été là, quelque part dans le subconscient de sa sœur. Et si elle n'avait pas été là, cette dernière serait morte noyée dans la piscine de leurs bien-aimés parents. Eve avait pris le corps de sa sœur, trop fragile pour remonter à la surface pour lors.
    Son chemin la mena à Cardiff, c'est là qu'elle rencontra Calypso, l'un des rabatteurs de Chrome. L'homme la prit sous son aile, peut-être lui aussi, médusé par ces grands yeux verts. On ne cache cependant rien à Chrome, et la belle rousse n'en fit pas exception. Calypso presque à contre cœur, fit son travail et la mena devant Mr Flamel. Reila devint Edelweiss.

    Eve et Reila furent acceptées au sein de Chrome, cependant, si son nom évoque quelques souvenirs aux membres de l'organisation, personne n'eut le plaisir de la voir, à part Calypso et son supérieur Tit-Live.
    Reila et Eve sont des espionnes, s'infiltrant là où bon leur semble. A la fois douce et réservée, à la fois espiègle et effrontée, l'Edelweiss part en mission, aussi bien pour surveiller les membres de Chrome, les espions possiblement intégrés, que pour surveiller un nid de concentration maléfique.

  • Physique : 1m58 pour 51 kilos. L'Edelweiss porte de longs cheveux plus rouges que roux, elle ne les a jamais coupé de sa vie, ainsi sa chevelure lui tombe le long des mollets. Ses cheveux sont naturellement ondulés, mais avec le poids, elle est obligée de passer au coiffeur pour les entretenir. Ses yeux sont vert feuille, rehaussés d'un mascara noir, ses lèvres sont toujours colorées d'un rouge à lèvres cerise, sa peau uniformisée par un fond de teint. L'Edelweiss est très coquette, vous ne la verrez jamais démaquillée.
    Elle porte tout le temps des jupes ou des robes, vous ne la verrez jamais en pantalon, elle vit pleinement se féminité ! Mais attention, aucune de ses robes ne dévoilera ses cuisses, ses toilettes lui tombant toujours en dessous des genoux. La petite bonne femme ne quitte jamais ses talons aiguille. Ne croyez pas que se soit là un handicape pour elle. Elle danse, court avec et ce depuis longtemps déjà. Sa couleur de prédilection est le blanc, après tout, on ne l'a pas nommé Edelweiss comme ça, par pur hasard.

  • Personnalité : Très dur de dresser un tableau global de sa personnalité. Allons y par point. Reila est une jeune femme douce, très renfermée, elle ne parle que très peu, mais sait toujours lorsqu'elle doit intervenir. Sa voix est posée, douce et faible comme un murmure. Elle est très obéissante, très effacée et n'aime pas être le sujet de regards trop insistants. Elle adore chanter en cachette, son père l'appelait son rossignol. D'ailleurs, son rêve aurait été d'être cantatrice.
    Eve est quasiment son opposé, elle est une grande gueule et n'hésite pas à prendre la parole, même lorsqu'elle a tord, ou qu’elle devrait rester silencieuse ! Elle est effrontée, indisciplinée et si l'envie lui prend de désobéir, elle le fera ! Eve est un peu moins coquette que sa sœur, mais pas au point d'en devenir un garçon manqué, bien sûr que non. Cependant, elle a autre chose à faire que de passer trois heures à se préparer, c’est pourquoi Eve laisse toujours sa place à sa sœur lors du rituel de coiffure, maquillage, shampouinage et tout le tralàlà. Eve a une spécialité, elle sait manier son charme bien plus facilement que sa sœur, n'hésitera pas à en abuser si elle en a envie, que se soit pour le travail, ou… par plaisir !

  • Pouvoir :
    Lors qu'elle se regarde dans une surface réfléchissante, miroir, vitre, flaque d'eau, ses yeux brillent d'une lumière dorée, signe que les sœurs ont échangé leur place. Cependant le phénomène est très rapide, à peine une seconde, alors il n'est pas aisé de repérer cet éclat. Il est à signaler que ce phénomène n'est pas automatique, si elles ne veulent pas échanger de place, elles ne le feront pas. Par caprice Eve peut laisser sa sœur se débrouiller seule !
    Un lien les relie constamment, leur permettant de se parler, sans avoir besoin de se dire les choses à voix haute ou par petits mots interposés.




  • Autre : Equipe Seers


Dernière édition par Faust le Jeu 6 Aoû - 14:26, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: 06 Bestiaire, les postes à pourvoirs (humains/semi-humains)   06 Bestiaire, les postes à pourvoirs (humains/semi-humains) 37Jeu 6 Aoû - 14:06

Chasseur




  • Nom : Roy
  • Prénom : Blodwyn (fleur blanche)
  • Nom de code : AberKlaue (Griffe d'or)
  • Age : 28 ans
  • Avatar possible : 06 Bestiaire, les postes à pourvoirs (humains/semi-humains) G43114

  • Famille : Une mère dont il n’a connu la mort qu’il y a peu, un père décédé en mer et un jeune frère disparu dans un trafic d’enfant.

  • Passé :
    21 décembre... Un nouveau né entre dans la vie de la famille Blodwyn, un bébé de deux kilos cinq cents, les yeux violines et le sourire d’un ange. On le nomma Ryan. Roy a sept ans, il le prend dans ses bras pour la photo rituelle de famille, pour fêter l’arrivée du nouveau né. Quelques secondes après le flash, le bébé entre dans une crise de larmes tout à fait ahurissante et d’une voix criarde et suraiguë, il transperce le silence de la maisonnée. Peut-être que le flash lui a fait peur, ou que le nourrisson a déjà ressenti ce qui allait se passer.
    Plusieurs personnes pénètrent la vieille maison, défonçant portes et fenêtres dans un fracas inimaginable. Roy se retrouva empoigné par un homme puis tiré brusquement en arrière. Jeté comme un fétus de paille contre le mur du fond, l'enfant laissa le bébé tomber de ses petits bras sous le choc. Son regard na lâcha pas le lange de Ryan qui pleurait de plus en plus, tandis qu'il était traîné par les cheveux loin de ses parents. Il ignore qui sont ces gens, mais du haut de ses sept ans Roy comprend qu'ils vont tous mourir. Sa mère est violentée avant d'être jetée à ses côtés, pendant que son père sérieusement blessé essaye de protéger le nouveau né des assaillants. Les cinq hommes dévastent l'appartement, prenant tous objets de valeur que ses parents possèdent. Ryan pleure toujours de terreur au milieu du salon aux côtés d'un père gisant dans son sang. Sa mère le serre contre son corps protégeant le visage de son fils et l’empêchant de voir et d’entendre ce qui allait bientôt arriver. Elle sait qui sont ces gens et sait déjà le sort qu'ils réservent aux traitres de la Cause.

    -"Aucun survivant ! C'est une règle...."

    Tandis que les agresseurs sortaient armes et munitions, afin de mettre un terme à leur mission, quelque chose les tua aussi promptement qu'une crise cardiaque. Une sorte de coup de vent invisible et flou glissa à travers les soldats les jetant à terre avec une rapidité déconcertante. Ni l'enfant, ni la mère ne comprirent ce qui s'était passé, mais un jeune homme accroupi sur le rebord de leur cheminée leur sourit. Son visage est peint d’éclaboussures de sang, ses dents sont incroyablement longues, dans le crâne de Roy, cet homme est une sorte de vampire, mais ce qui est le plus terrorisant dans cette image c'est que cette créature tient fermement son petit frère entre ses bras.

    -"Je suis au regret de vous dire Mme Blodwyn... que j'emporte votre fils avec moi..."

    D’abord c’est la surprise, puis enfin c’est les cris, les cris d’une mère affolée de voir partir son nouveau né avec un homme aux yeux dorés à la limite du paranormal. La mère lâcha Roy, se ruant vers son enfant. Trop lente, déjà l'homme était de l’autre côté de la pièce, lévitant dans les airs. Roy se boucha les oreilles se calant un peu plus dans le recoin de la du salon, il a peur, tellement que ses yeux brillent d'une étrange clarté. Le rabatteur envoyé par Chrome se rend compte qu'il s'est trompé de cible. Avant qu’il ne s'en rend compte, un couteau lui passe à travers le bras. Les yeux dorés lâchèrent Ryan qui retomba dans les bras d'une mère soudainement capable de tout pour protéger sa progéniture. Dans un mouvement de cape, le rabatteur fondit sur Roy, l'enfant qui devait intéresser la société c'était celui là. Il sentit observa avec ravissement les pouvoirs qui dormaient encore dans l’enfant et qu’ils allaient réveiller pour le bien de l’humanité.

    -"C'est lui que j'emmène... N’essayez pas de m’en empêcher madame, je ne vous veux pas de mal, mais…"

    Une faible main se posa sur son torse et l'enfant repoussa les yeux dorés de toutes ses forces, mais rien n'y fit ; la force d’un homme aux pouvoirs paranormaux a raison de celle d’un gosse de sept ans, c'est certain.
    C'est alors que Roy montra à sa mère quelque chose qu'elle n'avait encore jamais vu et qu’elle n’était pas prête à voir. L'enfant leva la main vers le visage du rabatteur, pleurant silencieusement, son visage se déforma tout à coup sous la colère et ses ongles s'allongèrent en cinq griffes flamboyantes. L'apparition se planta dans la jugulaire du membre de Chrome et le tua net, tandis que l’enfant, pris d’un soudain mal de crâne tomba au sol et perdit connaissance.

    Il se réveilla quelques heures plus tard, à l’hospice du village dans lequel il vivait avec sa famille. Les médecins parlaient de son père. Il irait bien, d’ailleurs le docteur plaisanta, disant qu’il pourrait rejoindre la mer et les poissons dans moins d'un mois. Que dieu soit loué, sa mère quitta l'hospice laissant son mari aux bons soins des médecins, Ryan installé dans son dos, Roy à son bras, leur mère encore apeurée avait décidé de quitter sa maison, avec les quelques provisions et objets de valeurs qui lui restaient. Elle avait enfanté un monstre et le regard qu’elle posait désormais sur Roy était teint par la terreur. Elle prit la direction de la maison de ses parents. Elle y fut hébergée six mois, un autre envoyé de Chrome apparut, il faillit à sa mission, comme le premier. Roy montra à nouveau ce pouvoir maléfique qui fit pousser un hurlement d'horreur à ses grands-parents. Monstre ! Ce regard rempli de dégout habita désormais les yeux de ses grands-parents.
    Ceux-ci gardèrent le plus jeune des fils quand la mère quitta la maison pour s’enfuir après qu'il y eut cette grande discussion remplie de pleures et de cris.
    Chrome. Qu’était-ce ?
    Le lendemain, la mère partait seule avec Roy, le tirant de toutes ses forces, loin de la maison de ses parents. Elle ne le regardait plus, elle ne s’arrêtait pas, même après les supplications de son fils, elle marchait, rapidement, trop rapidement pour ses petites jambes. Pourtant elle l’aimait, elle continuait et continuerait de l’aimer, c’est pour cette raison que chaque nuit, elle se maudissait et pleurait alors qu’elle s’apprêtait à abandonner la chaire de sa chaire. Ils prirent le ferry qu’elle paya avec ses quelques deniers et bijoux et ils partirent pour l’Angleterre. Là elle le laissa devant une église.

    - Ne bouge pas, tu m’entends, tu dois rester ici et m’attendre. Je reviendrais te chercher. »

    La nuit arriva, le lendemain aussi. Roy s’était installé contre le porche de l’église et fut recueilli par un vieux prêtre. Sa mère ne revint jamais. Ses grand-parents avaient insisté sur le fait que Roy devait être tué, mais elle n’avait pas pu s’y résoudre, elle l’avait laissé là où il pourrait être sauvé. Là où Chrome ne le trouverait jamais.
    Elle retourna chez elle, éleva Ryan, heureuse qu’il ne soit pas maudit, mais le sort s’acharna sur elle. Son mari disparut en mer, la laissant seule et sans argent. Elle travailla dur, ne se plaignait jamais, mais au fond d’elle, Roy lui manquait énormément. Ryan était trop petit pour s’en rappeler, mais un jour, elle l’avait emmené jusqu’en Angleterre, rongée par les remords, mais elle apprit que son fils avait quitté le père Reid dès son douzième anniversaire. Ses recherches furent infructueuses et en manque d’argent elle retourna en Irlande.
    Lorsqu’elle épousa Mr Roìdh, elle reprit secrètement ses cherches, jusqu’au jour où son détective privé lui rapporta que son fils était en Amérique et faisait maintenant parti de Chrome. Elle ne put cependant rien faire de plus, car elle mourut, tué par ce faux prince charmant, laissant son fils en pâture à l’ignominie qu’il représentait.

    A douze ans, donc, après avoir suivi les préceptes du saint homme, Roy décida de le quitter, le prêtre n’avait pas pu l’aider à sauver son âme, il lui avait juste appris à se servir de ses pouvoirs afin de ne blesser personne et prier pour son salut. Il se débrouillerait seul à partir de maintenant ! Il remercia le prêtre et quitta l’église, prêt à affronter le monde. Mais pour vivre, surtout seul et sans emploi, il lui fallut de temps en temps se salir les mains. Vols, agressions plus ou moins graves... un meurtre. Un méfait qu’il ne se pardonnera pas, car, dans une crise d’angoisse, il avait ôté la vie d’une jeune fille qu’il avait prise pour une envoyée de Chrome.

    Il prit le chemin de Veynom, une ville Américaine, après en avoir entendu parler plusieurs fois. Une ville où l’on pouvait expier ses fautes et recommencer tout à zéro… Pour essayer de mener une vie moins misérable, il s’y installa, changeant son nom de famille, sans savoir qu'il se rapprochait de Chrome.
    Chrome l’attrapa lorsqu’il s’y attendit le moins, c’est alors qu’il prit conscience que ces années d’exile avaient été veines. Chrome n’était pas une mauvaise organisation, loin de là. Elle récupérait les enfants comme lui, renié par leur famille et leur donnait un but, utiliser leur pouvoir pour combatte le mal. Racheter leurs pêchers et leur damnation en éliminant toutes traces du malin. Il apprit donc à utiliser ses pouvoirs pour chasser les démons. Mais, il garde une préférence pour les gadgets que leur fournis l’organisation, passant de la grenade à eau bénite, aux mines anti-char bourrée de clous en argent et aux mitrailleuses à balles phosphorescentes.
    Quelque part, il recherche encore en vain son cadet dont il ne sait plus que le prénom : Ryan…

  • Physique & caractère : Un mètre soixante, Roy n'est pas très grand, il a les cheveux mi-longs auburn, tirant sur le roux, rouge. Il est souvent habillé de blanc et de pourpre, blanc pour montrer qu'il essaye d'expier quelque chose et pourpre pour la chose à expier : ce meurtre qu'il a commis.
    C'est un jeune homme nonchalant, mais qui cache un fort caractère. Il cache une certaine gentillesse et une fragilité qu'il ne montre que seul dans le noir et peut-être à une personne qui saura l’apprivoiser.
    Ses yeux sont noisettes, mais peuvent aspirer certaines teintes, comme le vert et le violet. Quand il est en colère ou bouleversé, une lueur animale et dorée y brille, il ne fait pas bon de rester auprès de lui lorsqu'il atteint cet état, car son pouvoir se dérobe encore assez souvent de son emprise. Il porte presque toujours des gants, afin de cacher ses mains. Les bouts de ses doigts sont remplis de cicatrices dues à la chaleur qui émane de ses griffes et ses ongles ont noircis pour les mêmes causes.
    Il s'est aperçu récemment que lorsqu'il s'énervait et utilisait ses pouvoirs, une migraine carabinée s’en suivait, ou de temps en temps précédait cet état. Pour lors il fait en sorte de ne pas exhiber ce don qu'il voit comme une damnation. Sur l'épaule gauche, il s'est fait tatouer un dragon rouge crachant du feu et deux mots en lettres noires. Griffes d'or... Roy est assez réservé, pour ne pas dire farouche lorsque quelqu'un s'approche de lui, il a du mal à accorder sa confiance et la plus part du temps... il préfère rester seul, de peur de blesser quelqu'un à cause de son pouvoir. Vous le verrez rarement sans un mégot collé au bec.
    Une fois en tenue de chasse, il est habillé de noir, avec un gros sac dans le dos, où il cache toutes ses armes. Il combat le mal avec force, même avec folie, il évite en temps normal les dommages collatéraux, mais quelque fois c’est inévitable, la ville se retrouve dans le chaos d’une guerre qu’il ne veut pas perdre. Car perdre contre le mal c’est se rapprocher de sa propre damnation.

  • Ce qu'il aime : La chaleur d'un feu, la tranquillité, et les chats errants.
  • Ce qu'il déteste : Son pouvoir.

  • Pouvoir :
    Dix griffes faites d’une matière incandescente. Et une paire d’ailes faites de la même matière dont il ignore encore l’existence.

  • Autre : Équipe Wünted


Dernière édition par Faust le Jeu 6 Aoû - 14:27, édité 2 fois
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Faust
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MessageSujet: Re: 06 Bestiaire, les postes à pourvoirs (humains/semi-humains)   06 Bestiaire, les postes à pourvoirs (humains/semi-humains) 37Jeu 6 Aoû - 14:09

Chasseur




  • Nom : Malakie Orphéus
  • Nom de code : Bones
  • Age : 29 (16 Novembre, Scorpion)
  • Avatar possible : 06 Bestiaire, les postes à pourvoirs (humains/semi-humains) UGH_01

  • Famille : Fils de Wilburn Orphéus, homme politique jamaïcain, accessoirement trafiquant d‘armes et de Shantaya Orphéus épouse décédée depuis maintenant une vingtaine d‘année. Il a deux frères et une petite sœur qu’il ne connaît pas.
    La seule personne qu’il côtoie encore de sa petite famille -adoptive- est sa "cousine" Shanesia qui travaille avec lui de temps en temps.


  • Passé :
    On lui a toujours dit que Wilburn était son père, mais déjà tout petit, il savait par le regard rempli de haine que son géniteur ne faisait pas parti de la maison des Orphéus ; et pour cause Malakie est en fait issu d’un viol. Son père aurait peut-être pu l’accepter comme son fils, si malheureusement, il n’était pas le fils de l’ennemi juré des Orphéus et accessoirement, trafiquant concurrent du clan Orphéus. La guerre entre la mafia jamaïcaine et la mafia cubaine s’était étendue entre ces deux familles depuis de nombreuses années des armes à la drogue, les deux parrains Wilburn Ophéus et Enrique Gusmaro se livraient une guerre sans merci !

    C’est dans cette vendetta personnelle que Malakie grandit entre les fusillades, les kidnappings, chantages et autres colis suspects et poisseux contenant des morceaux d’humain…
    Tout était sujet à la discorde et le premier prix était sa propre mère qui avait été marié de force à Wilburn alors qu’elle était éperdument amoureuse de Gusmaro. Mais… ceci resta un lourd secret que la jeune femme ne dévoila qu’à l’heure de sa mort et rien qu’à l’oreille de sa cadette. Allons savoir ce qu’aurait pu faire son époux en sachant que la naissance de Malakie n’était en fait pas due à un viol sombre et répugnant, mais à un dernier adieu à la vie qu’elle avait toujours voulu…

    Malakie ne le sut jamais, de toute façon, ça n’aurait certainement pas changé grand-chose dans sa vie. Protégé d’une dizaine de gardes du corps dès son jeune age, le jeune homme se sentait prisonnier de son nom et sa condition. Il ne pouvait sortir sous peine d’être pris en otage ou bien pire. Seulement comme tout enfant de son age, Malakie avait envie de découvrir le monde, il avait envie de sortir, jouer avec les enfants de son age, profiter de la vie !
    Alors un soir du haut de ses huit ans, le gamin profita d’une attaque du clan Gusmaro pour se mettre à cavaler loin de la maison. Il fut capturé par le frère d'Enrique qui l’enferma dans une cachette des bas fonds.
    L’oncle ignorait que l’enfant entre ses mains était en fait le fils de son propre frère. C’est pourquoi, il envoya une demande de rançon que Wilburn refusa de payer. Shantaya supplia plusieurs fois son mari qui ne démordit pas ! Ce n’était pas son fils, il n’allait pas payer ! La femme qui attendait un nouvel enfant se promit de l’éloigner le plus possible de la hargne et la folie de cette guerre des gangs.
    Malakie resta le prisonnier de Roberto deux longues années. Peut-être eut-il de la chance dans son malheur car son geôlier pourvu d’une conscience qui l’empêchait de faire du mal aux enfants, le traita avec attention et respect. Il veillait à ce que le petit Orphéus ne manque jamais de rien et tandis que l’enfant grandissait le geôlier devint un second père. Lorsque l’homme reçut le feu vert concernant l’exécution du petit, il l’aida à sortir de sa prison et aidé de certains contacts, il envoya Malakie en Amérique et plus précisément vers une femme qu’il connaissait bien. C’est ainsi que fraîchement immigré illégalement sur le sol Américain, Malakie fut mené à sa nouvelle famille, à la Nouvelle Orléans.

    Keisha était une femme bien, son mari qui l’avait abandonné avec une fille à charge était maintenant en prison. La femme qui le recueillit le traita comme un membre de sa famille. Elle travaillait comme domestique pour un couple de blancs fortunés, les Emerson. C’est eux qui l’aidèrent à officialiser les papiers de Malakie.
    Non, cette famille n’était pas le cliché des maîtres traitant mal leur domestique. Keisha habitait une dépendance de leur propriété avec les deux autres domestiques. Elle possédait un appartement tout ce qu’il y de plus convenable et ne se souciait pas du loyer. Tout ce qu’elle gagnait, elle le dépensait pour le bienêtre de sa famille et tous ses dimanches étaient passés avec sa fille et ce garnement qui lui donna bien du mal en premier lieu. C’est à seize ans que le métissé prit sa vie en main et commença à travailler studieusement en classe.

    Une vie parfaite commençait pour la petite famille. Cependant lorsque sa "cousine" commença à avoir des absences répétitives on le mena à l’hôpital. On découvrit qu'une tumeur lui rongeait le cerveau et l’opération coûtait trop d’argent pour que sa mère puisse la payer. Que cela ne tienne les employeurs de Keisha payèrent pour elle !
    Pendant cette sombre semaine, Malakie fit la connaissance de la petite fille des Emerson, et bien qu'inquiet pour sa cousine, le jeune homme se mit à jouer les jolis cœurs. Si la liaison entre leur petite-fille et Malakie ne dérangea pas les grand-parents, les parents de Lindsay furent d’un tout autre avis.
    Mais là encore Malakie n’en fit qu’à sa tête. Au volant de la Chevrolet qu’il s’était payée d'occasion, il traîna Lindsay hors de l’état pour un concert que la jeune fille voulait absolument voir. Malakie et Lindsay partirent voir les Cure en concert sans l’approbation des parents de la jeune fille. Ils étaient jeunes, inconscients et amoureux… on leur pardonnera, enfin presque ou pas.
    Car sur le chemin du retour une voiture leur rentra dedans de plein fouet. Lindsay restera paralysée à vie suite à ses blessures. Malakie, lui, s’en sorti avec quelques ecchymoses mais rien de bien méchant. Maintenant surprotégée la jeune fille ne put plus s’approcher de son amoureux transi.

    Un mois plus tard l’opération de sa cousine fut couronnée d’un succès, si on ne reprocha rien à Keisha, il fut temps au jeune Orphéus de tracer sa propre voie loin du domaine des Emerson qui se faisaient mettre la pression par leur fille. Ainsi, on rappela à Keisha qu’il fallait que son fils trouve rapidement un logement. Entre le lit de sa fille, son travail et les petites annonces, Keisha n’avait plus de temps pour elle, c’est pour ça que Malakie qui avait mis de l’argent de côté pour lui et Lindsay, envoya sa "mère" en cure de thalasso pendant une petite semaine, prenant soin de lui dire qu’il veillerait sur Shanesia.
    Peut-être que le métisse eut bien fait d’envoyer la femme au loin, car la tumeur qu’avaient ôté les médecins se reforma très vite plongeant sa jeune cousine dans un état critique. Il ne comprit pas vraiment ce qui lui arriva, mais bientôt il fut pris d’une crise de folie dont il ne se rappelle que vaguement, tout ce dont il se rappelle ? Shanesia avait essayé de le tuer.

    Le lendemain, il ouvrit les yeux dans une chambre sommaire et verte. Malakie ne sut pas où il avait été emmené jusqu’à ce qu’un homme plongé dans une blouse verte ne se présente à lui.
    Ainsi, Chrome, société secrète chassant le paranormal venait de lui mettre le grappin dessus. Comment ça ?! Et où était sa sœur ?
    Chaque chose en son temps… c’est ce qu’on lui répondit, avant de lui montrer par un exercice douloureux l’étendu de ses pouvoirs. Pourquoi l’accident ne lui avait pas fait de dégât ? Dante le lui expliqua à grands coups de barre à mine. Les os du jeune homme ne se brisèrent pas et ne briseraient jamais.
    Malakie ressentait la douleur, pouvait mourir comme tout autre humain, mais jamais il ne pourrait se briser un seul os. Chrome aurait pu le laisser mener une vie normale si au moment où sa cousine l’avait attaqué sans le vouloir, il n’avait pas fait preuve d’une drôle de capacité.
    Non en plus d’être incassable, Malakie pouvait agrandir ou modifier son squelette, ainsi il avait fait pousser les os de ses bras pour en faire des armes.

    L’entraînement fut éprouvant, autant pour son pouvoir que pour son corps et ses diverses carences en calcium et vitamine D. Malakie suit un régime très stricte car faire pousser de l’os n’est pas sans pomper de l’énergie à son corps. Aujourd’hui il peut faire de ses os des projectiles qu’il extraira de ses poignets ou rotules, il peut matérialiser une épée d’ossement, un bouclier, de longues griffes au bout de ses doigts et pleins d’autres armes suivant sa forme physique.
    Il a réussi une seule fois à modifier complètement son squelette pour devenir méconnaissable, pour la bonne cause qu'il se retrouva face à Keisha, mais ce n’est pas quelque chose qu’il fait sans éprouver une douleur proche de l’insupportable. Lorsqu’il apprît ce que savait faire sa "cousine" Bones décida de travailler avec elle dans l’équipe des Bowòn bien que Faust ait fait sa demande pour le faire rentrer dans les Wünted.

    Lorsque Keisha revint de son voyage de santé, elle ne retrouva ni son fils, ni sa fille, elle les recherche toujours activement, aidée par ses employeurs et par le FBI.


  • Apparence : Malakie est un métisse mi jamaïcain, mi cubain... Il fait un mètre soixante quinze, d’une musculature fine mais bien présente. Il porte deux boucles d'oreille, la plus part du temps des anneaux dorées et deux piercings l’un à l’arcade sourcilière, l'autre sur la langue. Ses yeux sont verts foncés et ses cheveux crépus sont noirs corbeau.
    Sa peau est ornée de nombreux tatouages qu’il se fait faire régulièrement après des missions difficiles. Il s’est fait tatouer des ailes (omoplates) des sigles tribaux (creux des reins + fesses) le prénom de Lindsay dans un alphabet cyrillique (épaule gauche) un dragon liche (épaule droite) des flammes (sous les oreilles) et une formule magique (abdomen).
    Il porte des tenues extravagantes, souvent trop larges -sauf les t-shirt qu'il porte moulant-, le baggy reste son pantalon préféré, à cause de ses nombreuses poches qui peuvent cacher les quelques gadgets de Chrome qu'il utilise.

  • Caractère : Silencieux, c'est ce qu'on peut dire à la première rencontre. Il a tout du grand type solitaire et peu bavard. A contrario des Wünted, il est difficile de le mettre en colère, vous pouvez insulter son ego, sa mère ou tout ce que vous voulez, Malakie restera de marbre. Il aura peut-être un sourire amusé aux lèvres. Il fait son travail et il est très sérieux lorsqu'il porte son insigne de Chrome.
    Une fois sa mission terminé, il a tendance à s'isoler, sauf en de rares occasions où le jeune homme sera enclin à aller chasser les demoiselles. Si il se retrouve face à une femme, Malakie devient une sorte de beau parleur et de dragueur invétéré. C'est la façon dont il évacue le trop plein de stresse et de solitude. Il lui arrive de se prendre des refus, des claques, mais tant que la demoiselle n'acceptera pas de boire un verre en sa compagnie, il continuera. Oui, ténacité est son second nom quand il s'agit des femmes !
    Avec les autres hommes Malakie a tendance à sympathiser rapidement, mais avec prudence ! Très ouvert lorsque l'on passe la première approche, c'est un ami sur qui on peut compter. Sa vie à Chrome l'oblige à mentir, mais ça ne le gêne pas tant que cela, d'ailleurs il est très bon menteur.
    Malakie est un homme à femmes, Lindsay peut se targuer d'être la seule à avoir pris un morceau de son cœur qui saigne encore dans le velours de son intimité.

    Autre : Chasseur/traqueur chez les Bòwon
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